L’océan n’a pas fini de dévoiler tous ses secrets aux hommes. Les chercheurs en ont repéré un autre pour le bonheur de la santé humaine, même si d’importants ralentissements sont enregistrés dans le rang des acteurs du domaine maritime. En effet, l’apparition du coronavirus n’a pas du tout rendu la vie facile à ces derniers. Qu’il s’agisse des bateaux de marchandises ou des paquebots (bateau de vacance), c’est le statu quo. Comme conséquence, le commerce des produits halieutiques a régressé considérablement. Et d’après le directeur du pôle halieutique, mer et littoral à Agrocampus Ouest, les choses ne rentreront pas dans l’ordre de sitôt. Monsieur Didier Gascuel, puisque c’est de lui qu’il s’agit, l’a fait savoir dans la dernière parution de ‘’La mer, notre avenir’’. Mais l’espoir est encore permis.
Existe-t-il un risque de contamination du coronavirus par l’eau ?
Des recherches ont été effectuées sous la mer afin de savoir si le coronavirus s’y trouve. C’est l’institut Ifremer de Nantes qui l’a réalisé et qui d’ailleurs rassure la population. Ainsi donc s’exclama le chef du laboratoire santé environnement et microbiologie monsieur Soizick le Guyader en ses termes : « Bonne nouvelle, il n’y en avait aucune dans notre étude ». Par ailleurs, la revue ‘’La mer, notre avenir’’ fait savoir qu’une enveloppe de 2 millions et demi d’euros a été octroyée à Frédérique Le Roux, chercheuse en microbiologie moléculaire. Un accompagnement qui d’après son bénéficiaire, permettra de mieux connaitre le virus qui pourrait servir d’antibiotique. Un résultat tant attendu à Roscoff, car cela fait beaucoup d’années déjà que les recherches sont réalisées sur les huitres sans succès.
Un grand pas vers la guérison du cancer
Le remède miracle contre le cancer pourrait provenir de ces animaux aquatiques que sont les huitres. C’est la biochimiste du laboratoire Physiologie des invertébrés de l’Ifremer à Brest qui l’affirme. Il s’agit de madame Charlotte Corporeau qui depuis 5 années, ne cesse d’avancer sur ce sujet, de même qu’Algosource. Ce qui n’est pas le cas de la société nazairienne qui préfère sonder d’autres pistes telles que les micro-algues. En tout cas, c’est ce que l’on retient de ses propos diffusés dans les colonnes de ‘’La Mer, notre avenir’’ quand elle dit : « Les micro-algues ont un potentiel énorme dans le domaine de la prévention santé ». La société a opté pour l’étude de ces plantes pour aider les personnes atteintes du cancer.