Le nouveau plan national santé et environnement, qui couvrira les cinq prochaines années est déjà connu de tous. Présenté ce vendredi 7 mai 2021 par Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique, ce plan a fortement été impacté par la pandémie du coronavirus. Il prévoit une grande réforme en s’attaquant aux différents polluants de la vie quotidienne.
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Les animaux sauvages et la faune seraient à l’origine de plusieurs souillures environnementales
En effet, cela fait déjà une année qu’un virus mortel provenant à première vue des animaux sauvages secoue la population mondiale. Au vu de ce fait, le rapport entre environnement et santé n’est plus remis en question. Ceci étant, l’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) juge que 25 % des maladies chroniques sont causées par la faune sauvage. Ainsi, le plan national santé et environnement qu’a présenté Barbara Pompili, la ministre de la transition, met environ 90 millions d’euros sur la table ainsi que des mesures très palpables en vue de combattre les risques de pollutions qui augmentent à grands pas.
La lumière émise par les appareils technologiques n’est pas en reste dans ce classement
Très souvent, la lumière bleue cause tant de dégâts. Elle abrège les moments de sommeils, engendre une épidémie de myopie. Bien évidemment, l’on connait tous les dangers de cet éclairage qui provient de certains appareils comme :
- Les voitures télécommandées ;
- Les lampes torches ;
- Les écrans d’ordinateur ;
- Les téléphones portables ;
- Les tablettes pour enfants, etc.
Pour tout dire, le ministère de la transition écologique a pris des décisions dures au sujet de cette lumière. Il est précisé dans le nouveau plan d’action que : « Être exposé à la lumière bleue dans la journée… tôt le matin ou tard le soir, cela impacte le taux de mélatonine dans le sang et perturbe nos rythmes naturels. Alors en 2022, ces lumières les plus dangereuses seront interdites dans les jouets ».
D’après les récentes explications de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), l’impact de la lumière bleue est spécialement perceptible chez les tous petits. Ceci parce qu’avant l’âge de 8 ans, l’œil n’a pas encore atteint son pic de croissance, et le cristallin n’a pas aussi la capacité de remplir ses fonctions de bouclier. Généralement en dessous de cet âge, seulement 20 % des longueurs d’onde concernées, situées entre 380 et 500 nm, sont épurées.
Une crainte perceptible à cause de l’importante utilisation des produits ménagers en France
Tous les ans les Français utilisent environ 1 milliard de produits de ménage et de nettoyage. La venue de la pandémie du Covid 19 n’a pas changé les choses. Plutôt, chacun est angoissé par la situation et enfermé chez soi, le constat montre que les maisons ont été intérieurement plus briquées et astiquées en 2020. Le danger vient surtout du fait que certains produits diffusent énormément de solvants et ont besoin que les pièces soient aérées. D’autres également ne tolèrent pas l’odeur que dégage ce mélange.
S’agissant du dernier cas, les disciples du Dr House en savent quelque chose, car le scientifique des écrans l’évoque très souvent que : le vinaigre mélangé à l’eau de javel dégage du chlore qui, une fois inhalé, peut s’avérer mortel. Plus précisément, l’eau de Javel ne doit en aucun cas être mélangée avec autre chose que l’eau. Le ministère rappel à l’ordre à ce sujet en disant : « Les risques sont souvent indiqués dans les notices, mais pas décelables au premier coup d’œil ». Pour ainsi dire, il y a lieu de prévoir une concertation regroupant les producteurs et les consommateurs afin de penser ensemble à un affichage lisible et clair.
De nouvelles mesures s’imposent…
Ainsi, sur la base du modèle de « Nutri-Score », un « toxiscore » paraitra sur l’affichage des emballages bientôt, précisément d’ici 2022.
La ministre de la transition écologique, Barbara Pompili a également annoncé lors de la présentation du nouveau plan santé et environnement qu’un contrôle de soixante-quinze pesticides se fera dans l’air et cela, au moyen de capteurs. « Un moyen d’avoir une photographie précise de la situation », précise-t-elle.
En effet, l’Anses a déjà eu à mesurer les secrétions de ces molécules présentent dans l’air qui sont respirés. Parmi ces dernières, l’on note le Boscalid, un fongicide appartenant à la famille des SDI. Ces particules sont suspectées de causer de graves encéphalopathies et d’être l’agent provocateur de nombreux cancers. Ainsi, l’outil de surveillance mis sur pied pour empêcher cela sera réintroduit et perpétué dès juillet de l’an prochain.