La chondropathie désigne l’usure du cartilage articulaire à un stade débutant. Cette affection peut toucher toutes les articulations du corps (genou, hanche, épaule, pied, cheville, rachis…). Le cartilage est un tissu conjonctif souple à l’aspect nacré qui forme une enveloppe protectrice autour des os. Il a pour rôle d’équilibrer les charges corporelles exercées sur les articulations. Le cartilage a un effet amortisseur, car il anéantit les chocs internes et externes. Sa constitution est faite dans le but de ne faire ressentir aucune douleur lors des mouvements et des efforts physiques. Le cartilage est ni irrigué et ni innervé. Il n’a pas la propriété de se régénérer ni de cicatriser rapidement. Il est constitué d’eau (de 70 à 80%), de collagène (de 10 à 20%) et de protéoglycanes (de 4 à 7%). Ce tissu étant fragile, il est capital de le maintenir en bonne santé afin d’éviter des troubles rhumatismales. Le genou est soumis à rude épreuve tous les jours. Il supporte le poids de votre corps et résiste aux agressions extérieures. Mais, sa résistante a des limites et sa surtension peut entraîner des désordres mécaniques et une défaillance cartilagineuse.
Table des matières
L’arthrose du genou : les symptômes et les traitements.
La chondropathie rotulienne
La chondropathie rotulienne est une affection du genou très fréquente. Cette pathologie est le motif de consultation le plus courant en orthopédie et en médecine du sport. Elle se caractérise par le ramollissement et l’usure du cartilage. L’affection est localisée au niveau des articulations de la rotule. La chondropathie rotulienne touche les grands sportifs, les femmes actives et les personnes de moins de 25 ans. Cette pathologie porte également le nom de « Genou du coureur ». Pour cause, les plaintes de douleur au genou sont fréquentes chez les personnes qui pratiquent le running.
Biologiquement ça se passe comment ?
Le quadriceps fémoral se situe sur le devant de la cuisse plus précisément dans la loge intérieure. Il est constitué comme son nom l’indique de quatre muscles : le droit fémoral, le vaste latéral, le vaste médial et le vaste intermédiaire. Le quadriceps participe à la flexion de la hanche et a pour rôle de stabiliser la rotule lors des mouvements de flexion et d’extension du genou.
Il permet la rotation interne et externe de celui-ci. La rotule est un os sésamoïde située dans la partie antérieure du genou. La patella (rotule) soude le quadriceps et le tendon rotulien. Par exemple, lorsque l’on court, la rotule remonte en avant et se fixe sur le fémur afin de permettre l’extension de la jambe. Si ces deux éléments deviennent trop raides, le quadriceps augmentera sa force de mobilité sur la rotule ce qui engendrera une plus forte pression sur le cartilage rotulien.
Au fur et à mesure, la rotule va mal se positionner et va provoquer un conflit mécanique par abrasion contre la trochlée fémorale. Cette situation va entraîner une dégradation du cartilage à plusieurs niveaux. La chondropathie rotulienne est souvent due à une surstimulation des muscles et des tendons ; comme c’est le cas chez les sportifs qui s’entraînent tous les jours et pendant plusieurs heures d’affilée sans avoir le temps de récupérer.
Les causes d’une chondropathie rotulienne sont multifactorielles :
- La première possibilité est un effort physique surdimensionné qui entraîne le surmenage des articulations.
- La deuxième possibilité est une reprise de sport trop intense et brutale après une inactivité prolongée.
- La troisième possibilité est d’ordre traumatique suite à un choc sur le genou (chute, coup…).
Les médecins recommandent vivement d’éviter le piétinement lorsque l’on souffre de cette affection. La brasse, les randonnées en montagne ou en vélo sont très néfastes. Ces sports aggravent les douleurs et le mécanisme de frottement.
La chondropathie patellaire
La chondropathie patellaire est issue du mécanisme de frottement entre la face postérieure de la patella et la trochlée fémorale. Le cartilage est ramolli, fissuré ou ulcéré. La chondropathie patellaire entraîne aussi des douleurs au genou, mais dans cette forme, c’est le cartilage au niveau du fémur qui est touché et la gêne est ressentie dans la face antérieure du genou.
Les douleurs peuvent provoquer une modification de la structure du genou par l’altération du paquet adipeux de Hoffa, du cartilage hyalin ou du rétinaculum patellaire latéral. Cette affection touche 53 personnes sur 10 000. Le syndrome douloureux fémoro-patellaire (SDFP) est très fréquent chez les coureurs réguliers, les recrues de la marine et les lycéennes qui pratiquent le basket de compétition.
La prévalence est féminine. De récentes recherches montrent que ce syndrome est souvent dû à un déséquilibre entre la musculature antérieure et postérieure de la cuisse chez les adolescents. La puberté provoque l’allongement et l’extension du muscle ce qui va entraîner une hypertension au niveau de la rotule.
Des études montrent qu’un désalignement fonctionnel engendre un syndrome douloureux fémoro-patellaire et un valgus dynamique. Celui-ci est causé par une diminution de la force des abducteurs de la hanche ou une éversion anormale de l’arrière-pied.
La chondropathie fémoro tibiale
La chondropathie fémoro-tibiale peut être interne et externe. Elle se situe entre le fémur et le tibia à la différence de la chondropathie fémoro-patellaire qui se situe entre le fémur et la rotule. Ce syndrome apparaît lorsque l’axe du genou est décentré. Avec une détérioration lente et progressive, les genoux peuvent prendre une forme arquée dite de cow-boys.
Ce phénomène s’appelle « genu varum ». Les genoux sont orientés vers l’extérieur. Les genoux en X sont appelés « genu valgum » Cette malformation est identifiable, car les genoux sont positionnés en interne de la jambe. La chondropathie fémoro-tibiale est plus fréquente chez la femme en surcharge pondérale ou atteinte d’insuffisance veineuse chronique. Elle est aussi très présente chez les footballeurs professionnels.
Biologiquement ça se passe comment ?
Le fémur constitue la partie centrale de la cuisse. Cet os est essentiel à la marche. Le tibia est un os situé entre le genou et le pied, sa fonction est de soutenir le poids corporel. Lorsque la lésion du cartilage se situe entre le fémur et le tibia, on dit que la chondropathie fémoro-tibiale est interne et dite externe lorsque la lésion se situe à proximité du péroné sur la face extérieure du fémoro-tibial.
Quels sont les symptômes ?
Dans un premier temps, cette pathologie est asymptomatique puis devient de plus en plus douloureuse. On peut observer une hydarthrose. Cette anomalie se traduit par l’inflammation et le gonflement du genou d’origine intra-articulaire. Lorsque le genou est en mouvement, on peut ressentir un frottement en grain de sable.
Cette sensation démontre des débris cartilagineux libres entre les articulations du fémur et de la rotule. Des craquements et des blocages peuvent également se manifester. Les symptômes d’une chondropathie rotulienne s’identifient par une ankylose globale du genou après une posture assise prolongée. On ressent le besoin de mobiliser son genou pour le détendre.
La montée et la descente des escaliers deviennent difficiles et douloureuses. Parfois, le genou peut se bloquer soudainement. Dans une chondropathie patellaire, le premier symptôme est l’instabilité physique accompagnée par les autres signes communs. Pour la chondropathie fémoro tibial, les symptômes sont les mêmes que la rotulienne.
Quelles sont les causes de cette pathologie ?
Les causes de la chondropathie restent encore mal connues des professionnels de santé ainsi que du grand public. Ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que les facteurs qu’ils soient d’origine biologique, mécanique ou environnementale contribuent tous à augmenter la force de pression sur le cartilage lors de la mobilisation physique.
Le surpoids et l’obésité ont des méfaits sur les genoux, car ils contribuent à la destruction de cartilage articulaire. Les traumatismes : torsion du genou, chute douloureuse, coup important peuvent entraîner une dégradation et des lésions sur la surface osseuse. L’excès de sport après une inactivité prolongée engage une surstimulation du mécanisme de glissement.
D’ailleurs certains sports seraient responsables de chondropathie, c’est le cas de l’athlétisme, du triathlon, du football, du basket ou du stepping. Les affections articulaires mal soignées comme les entorses, les foulures ou les fractures entraînent sur le long terme des complications. Les désaxations du genou qu’elles soient internes ou externes entraînent une usure prématurée du cartilage. La charge n’est pas équitable sur les os et crée un déséquilibre de force.
Une faiblesse musculaire au niveau du fémur, du quadriceps ou du tibia est souvent reliée à une hypotrophie musculaire. Cette cause est la plus souvent diagnostiquée chez les patients. Le cartilage étant constitué à 80% d’eau, la déshydrations pourrait être un facteur influent. La dysplasie provoque de nombreux désagréments notamment sur la trochlée permettant la flexion. Les luxations à répétition de la rotule entraînent des douleurs et un blocage du genou.
L’âge est retenu comme cause dans la chondropathie. Avec le temps, les muscles et les articulations se dégradent faisant apparaître des troubles musculo-squelettiques. Les conditions environnementales : les escaliers, les chemins calleux, les trottoirs déformés brutalisent les articulations, car le corps est en recherche constante d’appui et d’équilibre.
Un mauvais équipement orthopédique affaiblit le rôle d’amortissement du cartilage. Une chirurgie mal supportée par le genou peut entraîner des séquelles sur le fonctionnement des mécanismes du genou.
Quels sont les symptômes aggravants ?
L’usure du cartilage provoque une réaction inflammatoire dans l’articulation. De ce fait, l’articulation va réduire sa capacité de lubrification grâce à l’acide hyaluronique. Cette situation va engendrer une surproduction de ce liquide et créer un épanchement ou une synovie.
Cet ensemble de liquide ne pouvant pas être éliminé naturellement, le corps va former un kyste à l’arrière du genou. Ce kyste doit être traité. Si celui-ci ne l’est pas, il va entraîner une détérioration totale du cartilage jusqu’à la mise à nue de l’os.
Lorsqu’il n’y a plus de cartilage, les os se frottent entre eux et développent des ostéophytes ou aussi appelés « becs de perroquets ». Ces ostéophytes sont des excroissances osseuses provoquant des douleurs vives et très handicapantes.
L’évolution de l’usure : de la chondropathie à l’arthrose
La chondropathie évolue de manière lente et progressive. Le non-traitement de cette affection entraîne des anomalies irréversibles sur le cartilage. La chondropathie évolue en 4 stades et de manière très distincte :
Les 4 stades de la chondropathie
- Stade 0 : l’os et le cartilage sont normaux, sans aucune lésion apparente. L’articulation est en bonne santé.
- Stade 1 : on voit apparaître une chondromalacie. Cette anomalie se caractérise par le ramollissement du cartilage. Par ailleurs, on peut observer au même moment, un œdème, une phlyctène ou un furoncle malacique.
- Stade 2 : La surface du cartilage se desquame et fait apparaître des fissures superficielles. L’aspect des fissures s’apparente à une matière pelucheuse ou fibrillaire.
- Stade 3 : Les fissures sont plus importantes et plus profondes et s’étendent jusqu’à l’os sous-chondral.
- Stade 4 : On constate une ulcération du cartilage ; l’os sous-chondral est mis à nu et n’a donc plus aucune protection. Ce stade peut faire surgir des chondrocalcinoses. Cette anomalie décrit la présence de microcristaux de calcium dans les articulations.
La chondropathie est toujours localisée, il n’y a pas d’effet miroir. C’est-à-dire que l’affection d’une articulation ne va pas induire la détérioration de l’autre.
Alors comment évolue la chondropathie vers de l’arthrose ?
Après sa mise à nue, l’os va également se fragiliser et se fissurer créant une géode. La géode est une cavité qui apparaît au premier stade dégénératif de l’os. Cette cavité va s’étendre jusqu’à la capsule articulaire. La capsule articulaire est aussi appelée la membrane synoviale.
La membrane synoviale est un tissu qui protège la paroi interne des articulations. Composée de fibres élastiques et de graisses, elle a pour rôle de maintenir la lubrification et l’hydratation du cartilage. En cas d’agression, la capsule articulaire s’épaissit et produit du liquide.
Au stade 3, la chondropathie détériore la surface cartilagineuse. De ce fait, la membrane va s’écrêter en excès du liquide synovial et va finir par créer un épanchement caractérisé par un gonflement. Ce phénomène chimique s’appelle les poussées d’arthrose.
Qu’est-ce que l’arthrose ?
L’arthrose est une maladie articulaire dégénérative chronique qui se caractérise par une usure grave du cartilage et une destruction progressive de l’os sous-chondral. Son effet est mécanique et biologique. Les facteurs sont multiples et d’ordre génétique, traumatique et métabolique.
L’arthrose s’attaque à tous les tissus de l’articulation et se manifeste par des modifications morphologiques, biochimiques, moléculaires et biomécaniques. Les personnes âgées entre 65 et 75 ans sont les plus touchées.
L’arthrose du genou est appelée gonarthrose.
Quel est le moyen de prévenir une chondropathie ?
La prévention de la chondropathie passe en premier lieu par une alimentation équilibrée afin d’éviter les risques de surpoids et d’obésité. Par ailleurs, il est recommandé de pratiquer des sports doux comme la marche, la natation ou le vélo afin de maintenir les mécanismes en bon état.
Si vous avez l’habitude de pratiquer un sport plus complexe et plus extrême, il est primordial d’avoir un apport hydrique suffisant afin d’hydrater les muscles, les os et le cartilage. Après une longue période d’inactivité, il est préférable de reprendre les exercices sportifs avec douceur. Échauffez-vous et faites des pauses régulièrement. N’entreprenez pas de faire de la musculation excessive sans avoir eu l’avis d’un coach sportif et de votre médecin traitant.
Le rameur et les squats sont à proscrire en cas de chondropathie. Les chaussures trop plates ou les talons trop hauts favorisent l’inflammation et exercent une force sur les articulations du genou. Il est plus adapté de porter des baskets avec une semelle un peu épaisse ou des compensées occasionnellement.
La prévention de la chondropathie passe aussi par une bonne ergonomie corporelle : évitez de forcer sur vos articulations en montant les escaliers. Dès que vous ressentez une sensation de chaud dans le genou, prenez l’ascenseur. Il est recommandé d’éviter la position en tailleur ou accroupie de manière prolongée. Protégez vos genoux lorsque vous posez du carrelage ou faites du jardinage.
Quels sont les traitements médicamenteux ?
Le médecin va commencer par un questionnaire médical: « Depuis quand vous ressentez ces douleurs ? » « À quelle fréquence ? » « À quelle intensité ? ». À la suite de cet échange, il procédera à l’examen clinique de votre genou par palpation et posera un diagnostic. Il vous orienta vers un centre de radiologie dans le but d’effectuer une radiographie, une IRM et un scanner afin de déterminer avec précision le stade et l’état du cartilage.
Pour parvenir à réduire l’inflammation et la douleur, le médecin peut vous prescrire des antalgiques et des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Les chondroprotecteurs permettent de protéger le cartilage en apportant des molécules composées d’acide hyaluronique, de glucosamine et de chondroitine. Si les douleurs sont persistantes, le médecin peut alors vous faire une infiltration dans la zone sensible. Le traitement chirurgical n’est envisagé qu’après échec des traitements conservateurs.
Quels sont les traitements non médicamenteux ?
La thérapie par le froid a un effet anesthésiant et retarde la production des molécules inflammatoires. Elle soulage les douleurs et réduit les gonflements. Prenez garde d’avoir toujours dans votre congélateur une poche de glace au moment des crises douloureuses. Une rééducation motrice en centre de kinésithérapie est hautement indiquée.
Le kinésithérapeute va vous aider à muscler votre genou et à retrouver votre équilibre articulaire par des exercices physiques. Des études ont montré que la physiothérapie avait un effet bénéfique sur la chondropathie. Des semelles orthopédiques peuvent vous êtes prescrites afin de soulager la pression sur le cartilage.
Quelles sont les plantes médicinales bénéfiques pour la chondropathie ?
La phytothérapie est utilisée depuis toujours pour ses vertus thérapeutiques et curatives. Le gingembre et l’ortie ont une propriété anti-inflammatoire et permettent de réduire les douleurs musculaires ou articulaires ces plantes sont aussi une source importante en silicium organique et favorisent l’hydratation des tissus conjonctifs.
Le boswellia serrata est un puissant drainant. En effet, cette plante nettoie en profondeur le sang et la lymphe des déchets toxiques accumulés dans le corps. Ce processus va permettre de régénérer la structure de l’os. La fleur de cassis à un effet antirhumatismal. Son action est de redonner de la souplesse aux muscles et d’améliorer le mécanisme de fonctionnement des articulations.
Quels sont les aliments à privilégier ?
La graine de chia est une source naturelle d’énergie. Elle contribue à tonifier la masse osseuse et aide au développement et à la régénérescence des muscles. De plus, elle améliore les performances articulaires. La graine de chia comporte plus de protéines que les poissons gras tels que le saumon, le hareng ou la truite. Les cerises et l’ananas ont des vertus anti-inflammatoires et permettent de soulager les douleurs liées à la chondropathie.
Les légumes verts sont riches en minéraux et vitamines A, B6, C et K. Ils assurent la solidité de la masse osseuse en favorisant la croissance puis le renouvellement du tissu osseux. Par ailleurs, les légumes verts préviennent certaines maladies et cancers. La fraise, le litchi et le raisin sont composés de polyphénols. La vertu antioxydante de ses fruits réduit les inflammations et prévient la dégénérescence des articulations. Ils fluidifient la circulation sanguine en évitant le dépôt de cristaux dans le sang.
Quels sont les aliments à éviter ?
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la viande rouge n’est pas favorable à la chondropathie, car les protéines contenues dans cet aliment génèrent des dépôts le long des parois internes des capillaires et des micros vaisseaux sanguins. Ces dépôts ralentissent le fonctionnement des mécanismes corporels et bloquent tout nutriment nécessaire à vos cellules.
Ces dépôts entravent le système d’élimination des toxines. Bien entendu, vous pouvez continuer à consommer de la viande rouge, mais il ne faut pas en abuser. Essayez de promouvoir les viandes blanches qui contiennent, elles aussi, de nombreuses protéines. Cette molécule est indispensable à la construction des os et des muscles.
Des recherches scientifiques sont en cours afin de déterminer si le gluten provoquerait des douleurs articulaires. Les nutritionnistes recommandent de limiter la consommation de gluten, car celui-ci favoriser les inflammations du corps.
Pour faire le plein d’énergie et veiller à la bonne santé de vos articulations, voici une super recette de smoothie aux fruits :
Prenez 500 g de litchi, 250 g de fraises, 12 cl de lait, 35 cl de jus d’orange, 1 cuillère à café d’extrait de vanille, mixez l’ensemble de ces ingrédients, ajoutez des glaçons et le tour est joué !
Bonne dégustation
Bonjour,
Merci,pour cet article très intéressant.
Suite à des douleurs intenses au genou droit, mon médecin m’a prescrit l’IRM.
Le verdict est tombé, atteinte dégénérative fémoro-tibiale médiale avec chondropathie focale profonde, œdème osseux. Hydarthrose et présence de corps étrangers osteochondromateux intra-articulaires.
Bon….
Comment faire pour remonter la pente en évitant la prothèse ?
Je vous pose cette question, et vous remercie pour votre aide,.
J’ai 53ans et menaupose,je commence à comprendre que ce changement hormonale doit tenir le rôle principal…..
Super article et merci +++
Merci David pour votre commentaire ! N’hésitez pas si vous avez des questions, nous sommes disponibles pour y répondre ! À bientôt.
Tres bon document !! tres instructif ,merci ,je vais le relire régulierement.
Merci pour cet article, sa rédaction trés claire et son contenu trés documenté viennent compléter les informations que j’ai en ma possession
Au delà du fait que je cerne beaucoup mieux le Pb qui est le mien, cela me permettra d’échanger positivement avec mon Médecin (Médecin du sport spécialisé dans les pb de genoux) et de trouver, avec lui, les solutions les plus adaptées
Encore merci
Bien cordialement
Claude Logeais